Il s’agit de coûts générés indépendamment de l’énergie et de l’eau consommées (mise à disposition et entretien).
Les coûts de base comprennent les autres frais de chauffage, comme les frais accessoires pour la production de froid, le chauffage (ou le refroidissement) des locaux communs, par ex. la buanderie, la cage d’escalier, les halls d’entrée, les pertes de la distribution de chaleur et/ou de froid comme le dégagement de chaleur dans la cave et dans les colonnes montantes, les conduites à distance à l’extérieur des bâtiments et les déperditions dans les chaudières plus anciennes. Les coûts de base sont déterminés sur la base de données de référence et de valeurs empiriques. Dans les nouvelles constructions entièrement rénovées, la déperdition de chaleur ou de froid est insignifiante grâce aux modes de construction actuels. Les déperditions dans les nouvelles installations de chauffage et de refroidissement sont également faibles aujourd’hui. Sur la base de valeurs empiriques, les grandeurs suivantes peuvent être admises comme moyennes pour les parts de frais généraux : types de coûts, coûts de base chauffage/refroidissement 30 %, coûts de chauffage/refroidissement liés à la consommation 70 %. Ces coûts de base seront répartis au prorata de la taille de l’appartement, par ex. en m² de surface habitable ou en m³ de volume des pièces, ou d’après une autre clé plausible, comme les quotes-parts en cas de propriété par étage.
Par « compensation selon l’exposition », on entend la compensation d’une position moins avantageuse, en termes de chauffage, d’une unité de consommation au sein d’un immeuble/une installation.
Ouvrez toutes les fenêtres deux à trois fois par jour, une aération de toute part pendant 5 minutes suffit. L’air vicié et la trop grande humidité de l’air sont ainsi évacués avec une perte thermique minimale. L’air extérieur frais ainsi obtenu permet d’éviter efficacement les dommages causés par l’humidité (coins gris, moisissure, odeurs désagréables, etc.) ! Les bâtiments modernes sont souvent dotés d’une installation d’amenée et d’évacuation d’air. Il faut alors consulter les instructions d’utilisation.
Baissez les vannes thermostatiques de vos corps de chauffe. C’est souvent plus efficace qu’un humidificateur d’air, car l’air trop sec ne se retrouve que dans les pièces surchauffées ! Choisissez la température adaptée à l’utilisation de la pièce. 1 °C de moins permet déjà d’économiser de 6 à 15 % de frais de chauffage ! Attention : n’ouvrez pas la vanne si le corps de chauffe est froid par intermittence. Le corps de chauffe se coupe temporairement parce que la température requise est atteinte.
Les vannes thermostatiques et les vannes électriques programmables fonctionnent automatiquement en tenant compte des gains de chaleur générés par le rayonnement solaire, la cuisine, etc., en tant que sources de chaleur supplémentaires. Attention : les vannes thermostatiques ne doivent pas être couvertes par des meubles ou des rideaux. Si c’est inévitable, il convient d’intégrer des capteurs distants.
Baissez la température de la pièce à 15 °C pendant la nuit et en cas d’absence prolongée ; cela vous permettra d’économiser jusqu’à 10 % de frais de chauffage ! Abaissez les stores et fermez les volets ainsi que les rideaux. Lorsque les fenêtres sont fermées, vous économisez également de 5 à 10 % d’énergie. Attention : si vous dormez avec la fenêtre ouverte, fermez la vanne du corps de chauffe, car celle-ci s’ouvre entièrement en présence de l’air froid extérieur et la chaleur se perd !
Fermez la fenêtre dès qu’il fait plus chaud dehors et veillez à assurer un ombrage suffisant. Aérez beaucoup le soir !
Les ventilateurs consomment dix fois moins d’électricité que les climatiseurs. L’air déplacé combat la transpiration et apporte ainsi une sensation de chaleur plus agréable.
Les appareils électriques et les sources lumineuses dégagent de la chaleur supplémentaire. Utilisez des appareils et des éclairages économes en énergie (LED, etc.) et éteignez les consommateurs inutiles.
Dans le cas d’un regroupement dans le cadre de la consommation propre (RCP), le grand avantage est que le prix de l’électricité photovoltaïque produite sur place est moins élevé que celui de l’électricité issue du réseau, à condition cependant que l’électricité serve autant que possible à la consommation propre. Par conséquent, la consommation nécessaire doit, dans la mesure du possible, avoir lieu pendant les heures d’ensoleillement. Il est possible, par exemple, de planifier le lavage du linge, la vaisselle et le chargement des appareils ou des véhicules électriques durant la journée. Le chauffage offre de grandes possibilités d’optimisation. Pour les pompes à chaleur, il est judicieux de recharger les accumulateurs de chaleur pendant la production d’électricité photovoltaïque. En présence de véhicules électriques, les stations de recharge avec batteries de stockage permettent d’augmenter encore nettement le taux de consommation propre de l’électricité photovoltaïque.
En principe, on devrait consommer de l’électricité uniquement en cas de réelle nécessité. Cela s’applique, par exemple, à l’éclairage et au mode veille de nombreux appareils électroniques. La vigilance et l’utilisation de capteurs qui coupent automatiquement l’alimentation en dehors de l’utilisation peuvent éviter une consommation inutile, sans pour autant altérer le confort.
Préférez la douche au bain. Une baignoire complète nécessite 140 à 180 litres d’eau, c’est-à-dire trois fois plus qu’une douche de cinq minutes. Un pommeau économique permet en outre d’économiser jusqu’à 40 % d’eau sous la douche sans pour autant renoncer au confort.
Les gicleurs à économie d’eau ajoutent de l’air à l’eau. Ils permettent ainsi de faire de grandes économies d’eau et d’énergie sans perte de confort.
Un climat intérieur confortable est indispensable au bien-être des personnes. Il a en effet des répercussions immédiates sur la santé et les performances de chacun. Le confort ne dépend pas que de la température de la pièce, mais aussi de l’humidité de l’air. Il est recommandé de vérifier régulièrement la température ambiante et l’humidité de l’air à l’aide d’un thermomètre et d’un hygromètre et de les réguler en conséquence. Un climat intérieur confortable dépend en premier lieu de la température ambiante. Évidemment, chacun a ses préférences en matière de chaleur. Toutefois, il n’est guère possible de répondre simultanément aux souhaits individuels de tous les habitants. Mais les experts s’accordent à dire que les températures des pièces habitées doivent se situer dans les limites de confort. Pour le salon, une température de 20 à 21 °C est considérée comme appropriée. Dans la chambre, par contre, des températures plus basses suffisent. Il va de soi que l’activité physique et l’habillement influencent considérablement les températures demandées. Les températures ressenties comme agréables sont d’autant plus basses que l’activité est forte et les vêtements sont chauds.
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